La débâcle, en météorologie, caractérise la fonte des glaces d'un fleuve ou de la mer.
La débâcle, qui a lieu au printemps, est suivie d'un accroissement rapide du débit et de crues ou d'inondation. Le déglacement des fleuves sibériens est particulièrement spectaculaire.
Par analogie, la débâcle désigne dans le langage courant, une déroute complète, exemples : la retraite de Russie en 1812 pour Napoléon, ou celle de mai 1940 pour l'armée française face à l'armée nazie.
Voir aussi [modifier]
La Débâcle, roman d’Émile Zola publié en 1892.
"Elle survient au printemps"...Pas toujours! Et "elle est suivie d'un accroissement rapide du débit et de crues ou d'inondations"... Accroissement du débit (de parole) oui, même assorti d'un bégaiement épisodique dû à un trop-plein de nervosité. Inondations aussi, mais pas celles que j'espère.
Il n'y a pas que le déglacement des fleuves sibériens qui soit spectaculaire. Nimporte quoi. Il y a le déglacement d'une relation aussi. Une relation glacée, c'est bien, ça veut dire que c'est un bloc, un énorme bloc, comme un iceberg. ça éclate tout sur son passage, et rien ne l'éclate lui. Alors quand ça déglace, ce n'est plus que de l'eau, des flots et des flots d'eau froide, qui vous submerge et vous emporte. Mais dans cet emportement, passée la douleur, survient une chose précieuse. Quelque chose que j'ai tâté, et recherché pendant deux ans : le lâcher prise.
Dire qu'une thérapie n'a pas réussi à me le procurer, mais- que- ce- qui- m'arrive- en- ce-moment me le révéle...C'est fou. Comme quoi, on apprend toujours.
La débâcle, c'est étrange. J'ai relu les nouvelles de Jack London dernièrement, et la débâcle y avait un rôle récurrent. Ce moment de grande violence qui libère les eaux et les forces vives de la nature, je le vis dans ma chair, comme une douleur soulageante. Je crois que je vais retourner parler avec ma-géniale-psy-machin.
La débâcle, qui a lieu au printemps, est suivie d'un accroissement rapide du débit et de crues ou d'inondation. Le déglacement des fleuves sibériens est particulièrement spectaculaire.
Par analogie, la débâcle désigne dans le langage courant, une déroute complète, exemples : la retraite de Russie en 1812 pour Napoléon, ou celle de mai 1940 pour l'armée française face à l'armée nazie.
Voir aussi [modifier]
La Débâcle, roman d’Émile Zola publié en 1892.
"Elle survient au printemps"...Pas toujours! Et "elle est suivie d'un accroissement rapide du débit et de crues ou d'inondations"... Accroissement du débit (de parole) oui, même assorti d'un bégaiement épisodique dû à un trop-plein de nervosité. Inondations aussi, mais pas celles que j'espère.
Il n'y a pas que le déglacement des fleuves sibériens qui soit spectaculaire. Nimporte quoi. Il y a le déglacement d'une relation aussi. Une relation glacée, c'est bien, ça veut dire que c'est un bloc, un énorme bloc, comme un iceberg. ça éclate tout sur son passage, et rien ne l'éclate lui. Alors quand ça déglace, ce n'est plus que de l'eau, des flots et des flots d'eau froide, qui vous submerge et vous emporte. Mais dans cet emportement, passée la douleur, survient une chose précieuse. Quelque chose que j'ai tâté, et recherché pendant deux ans : le lâcher prise.
Dire qu'une thérapie n'a pas réussi à me le procurer, mais- que- ce- qui- m'arrive- en- ce-moment me le révéle...C'est fou. Comme quoi, on apprend toujours.
La débâcle, c'est étrange. J'ai relu les nouvelles de Jack London dernièrement, et la débâcle y avait un rôle récurrent. Ce moment de grande violence qui libère les eaux et les forces vives de la nature, je le vis dans ma chair, comme une douleur soulageante. Je crois que je vais retourner parler avec ma-géniale-psy-machin.
22 octobre 2007 à 22:44
Brr. Débâcle d'automne? Tu restes sur la berge, dis?
23 octobre 2007 à 12:00
Et'non'Henri...
Suis'dans'les'remous.
L'eau,c'est'la'vie,et'la'renaissance'aussi(psychologie'Magazine)