Par la fenêtre, les antennes d'un homard canadien, bien bleu et bien charnu se balancent sous le vent.
Sur la moquette, un chat noir, aux yeux emeraude me fixe, on ne sait pas bien quelquefois ce que pensent les petits animaux.
Si Dieu veut, j'essaierai encore...
d'aimer vibrer quand je parlais d'un livre
d'aimer frissonner en entendant une chanson qui me plaît
d'aimer les choses ordinaires
Moi qui ne manque plutôt de rien,
qui ne me prive pas
qui t'ai toi, dans ma vie, dans mon lit, dans mon coeur.
Mon petit joyau précieux.
Mon amour
Si Dieu veut.
Je rechercherai au fond de moi ce qui me fait pleurer, ce qui me faire plaisir, ce qui me fait sourire.
Pas ce sourire en demi-teinte qui fait son sillon trop souvent depuis quelques temps.
Retrouver le temps de prendre le temps,
prendre du temps avec toi,
prendre le temps qui passe, et ne plus essayer de le tenir enfermé dans la paume de ma main.
Le laisser s'échapper et m'échapper avec lui,
là où mes rêves sont.
T'emmener avec moi, là où le temps qui s'échappe.
S'échapper dans notre bulle d'amour.
Sur la moquette, un chat noir, aux yeux emeraude me fixe, on ne sait pas bien quelquefois ce que pensent les petits animaux.
Si Dieu veut, j'essaierai encore...
d'aimer vibrer quand je parlais d'un livre
d'aimer frissonner en entendant une chanson qui me plaît
d'aimer les choses ordinaires
Moi qui ne manque plutôt de rien,
qui ne me prive pas
qui t'ai toi, dans ma vie, dans mon lit, dans mon coeur.
Mon petit joyau précieux.
Mon amour
Si Dieu veut.
Je rechercherai au fond de moi ce qui me fait pleurer, ce qui me faire plaisir, ce qui me fait sourire.
Pas ce sourire en demi-teinte qui fait son sillon trop souvent depuis quelques temps.
Retrouver le temps de prendre le temps,
prendre du temps avec toi,
prendre le temps qui passe, et ne plus essayer de le tenir enfermé dans la paume de ma main.
Le laisser s'échapper et m'échapper avec lui,
là où mes rêves sont.
T'emmener avec moi, là où le temps qui s'échappe.
S'échapper dans notre bulle d'amour.
10 septembre 2008 à 18:52
Je constate avec plaisir et nostalgie que les antennes se tiennent toujours aussi droites et fières sous le vent lancinant du Nord.
Contente que tu utilises à nouveau le mot "amour", contente de croire que tes lèvres ne traduisent pas une demi-teinte ou plus du moins.
Contente de te retrouver par ce biais, fidèle lectrice, fidèle penseuse.
Je tire ma révérence et te souhaite du soleil et la sérénité.
Fanny