On connaît tous cette chanson, trop triste, trop émotionnelle, trop "la chanson qui se calque sur nos histoires d'amour en lambeaux".
Si seulement mes mots, mes écrits, mes textes pouvaient changer les choses, je crois que je ne dormirai plus et que j'écrirai, effacerai, recommencerai, chercherai chaque mot, chaque coup, chaque émotion, chaque larme salée, chaque sourire en demi-teinte, je creuserai dans ma douleur, je porterai chaque souvenir, chaque souvenir est comme une braise : à la fois il me réchauffe, et l'instant suivant il me brûle dans ma chair.
Pourquoi les gens qui s'aiment sont ils toujours un peu rebelles?
Si vous voulez, je vous envoie les paroles de la chanson de William Sheller. Mais vous aurez aussi vite de les chercher si vous voulez aller jusqu'au bout de ce post, aller au bout avec moi, accompagnez-moi un bout de chemin, pas dans la tristesse, pas dans la douleur, allez avec moi dans l'émotion, dans ce qu'une chanson offre de plus véridique. Dans ses notes, sa mélodie, ses paroles surtout. Lui, il sait ce que ça coûte d'être un homme heureux...
Je suis heureuse de connaître le prix et la valeur du bonheur.
J'ai depuis quelques années testé le concept "mordre la poussière du désert de la vie des heures durant, pour pouvoir se délecter un instant des fleurs, du chant des oiseaux et de l'insouciance".
Je ne suis pas raisonnable, pas constante. Vous êtes quelques-un(e)s à le savoir. Je suis (probablement) trop entière, mais j'aimerai moins la vie si je ne l'étais pas autant. Je n'aimerai pas autant si j'étais en demi-teinte, je désirerai moins si je ne désirais pas avec une telle passion.
Je ne serai pas le fruit de toutes mes origines si je n'étais pas fidéle à cette mosaïque de traits qui font de moi celle que je suis. Je porte des racines contradictoires, je porte des souvenirs et des histoires, je porte l'amour, le refoulement, l'acceptation, les non-dits et l'amour des choses puissantes et authentiques.
En vérité, je fais partie des gens qui ne savent pas écrire des choses gaies, c'est comme ça, faut pas se forcer. Même si fonciérement, je suis en général légére, je ne saurai jamais écrire des Vaudeville ou les sketches de florence Foresti.
Si tu as encore envie, écoute cette chanson...
Ecoute les paroles.
Les paroles de cette chanson, c'est ce que j'ai de plus vrai à t'offrir aujourd'hui.
Se faire sans que ça gêne de la place pour deux,
mais si ça ne vaut pas la peine que j'y revienne,
il faut m'le dire au fond des yeux.
Qui saura entendre cette chanson, ne saura être plus proche de moi, aujourd'hui.
Quel que soit le temps que ça prenne,
quel que soit l'enjeu.
Si seulement mes mots, mes écrits, mes textes pouvaient changer les choses, je crois que je ne dormirai plus et que j'écrirai, effacerai, recommencerai, chercherai chaque mot, chaque coup, chaque émotion, chaque larme salée, chaque sourire en demi-teinte, je creuserai dans ma douleur, je porterai chaque souvenir, chaque souvenir est comme une braise : à la fois il me réchauffe, et l'instant suivant il me brûle dans ma chair.
Pourquoi les gens qui s'aiment sont ils toujours un peu rebelles?
Si vous voulez, je vous envoie les paroles de la chanson de William Sheller. Mais vous aurez aussi vite de les chercher si vous voulez aller jusqu'au bout de ce post, aller au bout avec moi, accompagnez-moi un bout de chemin, pas dans la tristesse, pas dans la douleur, allez avec moi dans l'émotion, dans ce qu'une chanson offre de plus véridique. Dans ses notes, sa mélodie, ses paroles surtout. Lui, il sait ce que ça coûte d'être un homme heureux...
Je suis heureuse de connaître le prix et la valeur du bonheur.
J'ai depuis quelques années testé le concept "mordre la poussière du désert de la vie des heures durant, pour pouvoir se délecter un instant des fleurs, du chant des oiseaux et de l'insouciance".
Je ne suis pas raisonnable, pas constante. Vous êtes quelques-un(e)s à le savoir. Je suis (probablement) trop entière, mais j'aimerai moins la vie si je ne l'étais pas autant. Je n'aimerai pas autant si j'étais en demi-teinte, je désirerai moins si je ne désirais pas avec une telle passion.
Je ne serai pas le fruit de toutes mes origines si je n'étais pas fidéle à cette mosaïque de traits qui font de moi celle que je suis. Je porte des racines contradictoires, je porte des souvenirs et des histoires, je porte l'amour, le refoulement, l'acceptation, les non-dits et l'amour des choses puissantes et authentiques.
En vérité, je fais partie des gens qui ne savent pas écrire des choses gaies, c'est comme ça, faut pas se forcer. Même si fonciérement, je suis en général légére, je ne saurai jamais écrire des Vaudeville ou les sketches de florence Foresti.
Si tu as encore envie, écoute cette chanson...
Ecoute les paroles.
Les paroles de cette chanson, c'est ce que j'ai de plus vrai à t'offrir aujourd'hui.
Se faire sans que ça gêne de la place pour deux,
mais si ça ne vaut pas la peine que j'y revienne,
il faut m'le dire au fond des yeux.
Qui saura entendre cette chanson, ne saura être plus proche de moi, aujourd'hui.
Quel que soit le temps que ça prenne,
quel que soit l'enjeu.
12 mars 2009 à 23:13
... ..."Quel que soit l'enjeu
Je veux être un homme heureux"
A cela tout le monde aspire...toi, moi, nous...
Bouclette,Boucle d'or et les 3 ours...fais de beaux rêves, et...ne laisse pas la désespérance t'envahir!
13 mars 2009 à 12:00
Gil : Boucle d'Or c'est ma collégue ^^^et les 3 ours, ça se trouve aussi dans mon entourage...
C'est l'espérance qui m'envahit.
Merci.
13 mars 2009 à 15:22
Je préciser que sa collègue ce n'est pas moi (à moins d'avoir une perruque sur la tête).
je vois que l'inspiration t'es revenue Bouclette. Très joli texte, comme toujours.
14 mars 2009 à 09:08
Merki Colibri!
Boucle d'Or, on sait qui c'est.
Mais les 3 ours???^-^
----> michel Vaillant, ou le chevalier à la charette.
---->sa Sérénissime pouffitude (elle c'est plutôt le Grizzli)
Bientôt libre de tout ça moi! Soulagée quelque part...
14 mars 2009 à 10:21
Ouais mais Michel et le chevalier sont la seule et même personne. T'as oublié notre "amie" Droso : pffff
T'es déjà débout toi ?
14 mars 2009 à 11:57
L'avenir appartient à ceux qui se lévent tôt, et comme tu ne te proposes pas de faire mon ménage...^^
14 mars 2009 à 12:54
Rho l'autre !!! C'est pas parce que je suis "née quelque part" (un petit porto lacryma ?) que j'aime faire le ménage.
20 mars 2009 à 23:20
pourquoi les gens qi s'aiment sont ils toujours un peu les mêmes? ils ont quand ils s'en viennent, le mm regard, d'un mm désir, pour 2... j'adore cette chanson,que j'ai écouté en boucle souvent... chaque note du piano, derriere...
Kollegue
7 avril 2009 à 21:07
Mais la Dolce Vita
Se peut-il qu'on oublie
Cette vie qu'on ne vit pas
Qu'on s'est pourtant promis
Rappelle-toi ce qu'on voulait si fort
Il suffirait d'y croire encore
Rappelle-toi ce qu'on voulait si fort
Il suffirait de le vouloir encore...
une chanson aussi qui me ramene à toi, encore et toujours..douce nuit..